Psychologie des apprentissages et multimédia

Publié le par Virginie Segaut

Psychologie des apprentissages et multimédia, Denis Legros et Jacques Crinon. 2002.

Mots clés: construction des connaissances, intégration pédagogique des TIC, théories de l'apprentissage et systèmes multimédia, apprentissage des langues.

Cet ouvrage vise à evaluer les effets des technologies de l'information et de la commmunication sur l'apprentissage et l'enseignement. Différents points sont abordés d'une manière prospective. L'analyse étroite de divers ouils multimédia permet de faire un bilan sur les pratiques déja existante et de proposer des alternatives ou en tout cas des pistes de reflexion.

Au sein de chaque chapitre l'intention des auteurs est de montrer comment les TICE doivent amener la construction de savoirs, à savoir comment rendre les apprenants actifs et non consommateur? Comment faire de la langue un moyen de communication et non un outil?

Je me suis surtout penché sur les chapitres suivant: l'apprentissage des langues, les TIC et la construction des connaissances, modèles d'enseignement et conception des environnements. Ces parties m'ont permis d'adopter une démarche réflexif par rapport à notre projet et de toujours remettre en question mes idées. Comment utiliser les compétences langagières à bon escient, comment utiliser les hypertextes, comment mettre l'apprenant en situation d'expert? Comment créer des situations d'apprentissages motivante et adaptées?

 De plus je me suis conforté dans l'idée que l'apprentissage des langues via les TICE ne sont pas une fin en soit. Cela m'a permi d'envisager notre projet comme un support complémentaire. Et c'est peut être dans cette optique que nous arriverons à  tirer  un réel  profit de ces nouveaux environnements d'apprentissage.

Publié dans Lectures

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Merci Virginie pour cette fiche de lecture. Une citation tirée de cet ouvrage : "Les didacticiens, mais plus généralement tous les spécialistes qui conduisent des recherches aux implications didactiques et pédagogiques, versent facilement dans le conseil normatif et la prescription. Or, les conseils tirés de la généralisation des résultats de recherches peuvent toujours être contredits par d’autres résultats, d’autres recherches. <br /> Il est vrai que la didactique et la recherche en éducation ne peuvent se contenter de décrire et d’expliquer, elles ont vocation à proposer des pistes pour l’action. Mais la prudence, comme l’efficacité, nous obligent à préférer les recommandations contextualisées aux recommandations généralisantes : plutôt que les "il faut" et "on doit", nous préférons dire : "si on procède de telle manière dans un tel contexte, il y a des chances qu’on obtienne tel résultat"." p.21<br />
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